Le petit e mail illustré

En cette période qu'aucun n'avait imaginé connaître, des besoins se révèlent auxquels des bénévoles peuvent répondre. Parmi ces besoins, je parlerai des sur-blouses, vous savez ce vêtement ample qui couvre l'habit de travail des personnels hospitaliers, en Ehpad, dans les I. M. E. ....et qu'il faut changer régulièrement ?

Il y a un peu plus de deux semaines, une amie m'a contactée pour me parler d'Over-the-blues, une association nationale créée très récemment pour informer le plus de couturières professionnelles ou amateures de cette demande et les engager à participer bénévolement à la fabrication de ce vêtement.

Des antennes se sont installées dans un bon nombre de départements, et  maintenant, grâce à un patron facile à reproduire, toute personne disposant d'une machine à coudre peut participer à cette confection, chez elle. Le tissu utilisé est d'anciens draps proposés aux antennes ou donnés aux couturières par leurs amis ; quant au confinement qui pouvait devenir pesant, il s'allège lorsqu'un objectif généreux  lui donne un autre sens. 

Vous aimez piquer ... à la machine, avez  du temps à proposer ; je vous invite à aller sur le

Sur-blouses "over the blues"
https://over-the-blues.com

site et laissez vous convaincre de  rejoindre un des ateliers qui s'est ouvert près de ches vous ou, pourquoi pas, d'en ouvrir un.

Mercredi 1er mai, envie d'une petite balade sur les sentiers douaniers. Je choisis d'aller me garer non loin du phare du Cap Camarat qui ne se visite plus maintenant et de descendre récupérer le sentier du littoral pour aller en direction du village du Merlier.

Le mois de mai est vraiment propice à un spectacle végétal coloré qu'on ne retrouvera pas si on emprunte ce trajet en août, par exemple : asphodèles, lavande des Maures, cistes, euphorbes, pittosporum odorant, hélichrisum au parfum prenant,...

Le rocher des oiseaux est vide aujourd'hui : pas de nageurs pour le rejoindre.

Le chemin est moyennement aisé ; tantôt des escaliers avec des marches en bois de taille inégale, tantôt la roche en pans inclinés ou taillés et entre tout cela, des parties de sentiers sableux ou de roches friables glissant sous les pieds.

Mais l'oeil est perpétuellement sollicité.

Arrivée au village du Merlier, je prends le temps d'une visite discrète puis reviens avec plus d'aisance ; mes jambes dérouillées sont plus souples et la promenade est  plus aisée.

Je préfère consacrer un album de photos au village du Merlier (comme d'habitude, voir ci-contre)

Une bien belle balade dans un lieu que je n'avais pas vu depuis quelques années

Bormes-les-mimosas est peut-être le royaume de ces derniers mais je peux vous affirmer qu'alentours, en cette saison, vous trouverez une flore très variée et splendide.

Ici, des lavandes des Maures et à foison le long du parcours que j'ai suivi hier, sur les conseils d'Emilie (Rando éditions) pour le Var.

Une balade d'1h30 permettant entre autres de voir le château de Bormes sans y pénétrer, la Chapelle Notre Dame de Constance précédée de tous ses oratoires et une forêt de rochers impressionnantes. 

La Chapelle est placée sur un promontoire qui permet d'avoir une vue imprenable sur les îles (Levant, Porquerolles), Le Lavandou mais bien d'autres lieux encore annoncés sur la table d'orientation toute proche.

Je ne résiste pas au plaisir de réaliser une court diaporama mix de flore, façades peintes et autres vues de la chapelle.

Bonne balade.

Ce samedi 27 avril, se déroule la première journée de la Jet Cup à Sainte Maxime.

Toute la plage centrale a été ré-aménagée pour permettre l'accès aux compétiteurs, mais aussi aux spectateurs. Le long de la promenade Simon Lorière des tentes, des abris temporaires et sur la jetée entre le port et la promenade des tribunes ont été installées. 

A 11h déjà, des compétiteurs s'échauffent et reconnaissent leur parcours.

Le vent est fort et vient de l'ouest ; le commentateur annonce, au large, des creux de 1m à 1,50m et promet une compétition particulièrement spectaculaire mais nécessitant une surveillance encore plus importante.

L'après-midi, les trajets bien étudiés, offrent aux spectateurs des images impressionnantes.

Une première pour moi qui n'avais jamais vu ce genre de compétition. 

Ci-contre, je mets un diaporama des quelques clichés pris avec mon modeste appareil. 

Comme chaque année, je me fais un plaisir de vous proposer deux beaux concerts à Paris au mois de mai.

- Mardi 21 mai en l'église St Louis-en-l'Île à 20h30

- Jeudi 23 mai à l'église de la Madeleine à 20h30

Au programme le magnifique Requiem de Mozart avec en début de concert, un court extrait d'oeuvres de Vivaldi et Haendel interprété par nos solistes : Mathilde Marodon Cavaillé-Coll (soprano), Pauline Leroy (alto), Mathieu Septier (ténor) et Nicolas Brooymans (basse)

La direction de l'ensemble choeur, orchestre et solistes est assurée par notre chef, Guy Angelloz

Les concerts sont donnés au profit du projet Démos (Dispositif d'éducation musicale et orchestrale à vocation sociale), programme d'orchestres d'enfants piloté par la Cité de la musique-Philharmonie de Paris

Ce vendredi 8 mars 2019, petite balade le long de la mer en direction de la Nartelle.

Une grille, toujours fermée habituellement, est grande ouverte. Sur la droite, je lis difficilement "Villa Venez-y". C'est une invite,  n'est-ce-pas ? 

J'entre ... aucun chien n'aboie, aucune interdiction n'est visible, aucun individu pour me barrer le chemin qui fait un grand virage entre diverses espèces d'arbres qui me cachent la villa. 

Puis j'arrive sur un grand terrain qui a certainement  été déblayé pour laisser le passage à des engins de travaux et, au milieu du parc, la Villa.

Elle est belle. Les ouvertures sont béantes mais la toiture est toujours là. J'approche, je rentre, les pièces sont vides avec les sols jonchés de verre cassé, de débris divers. Au centre, un escalier que je n'emprunterai pas vu l'état des plafonds. Certains murs furent peints ; restent encore quelques encadrements au trois quarts effacés, un peu comme dans les villas pompéiennes.

Mais dans la petite rotonde qui sert d'entrée vers la gauche comme la droite, en levant la tête je vois un plafond décoré de délicates peintures japonisantes. 

Plus haut, sur la droite du terrain mais encerclée par des palissades en interdisant l'entrée, une petite chapelle qui semble avoir été rénovée.

De retour chez moi, je cherche sur internet quelques bribes d'information sur l'histoire de cette villa. Rien. Un internaute m'aidera-t-il à éclaircir le mystère de la Villa "Venez-y" ?

Le 12 août, à Collobrières, c'était la Fête des Fontaines. A cette occasion, sur la place, de grandes tables ont été dressées pour un gigantesque aïoli arrosé par le Rosé qui coule à flots de cette fontaine.

Au fond, une scène avec musiciens et chanteurs ; tout l'après midi, les tubes de notre jeunesse se succèdent entraînant les participants à danser, sur la place où sur les tables.

Quelques chiffres à propos de Collobrières :

Les habitants s'y installent au Moyen Âge ; la rivière, le Réal Collobrier l'irrigue.

Autour du village, grâce à son eau, 17 usines de bouchons de liège s'y installent au 19ème siècle. Autour de Collobrières, les chênes liège ne manquent pas.

Collobrières fut la première commune du Var à bénéficier d'un réseau de distribution d'eau en 1891, avec trois fontaines, onze bornes-fontaines, douze bouches incendie et un lavoir. Lors de l'inauguration de ce réseau, deux jours de fêtes furent organisées. Depuis, cette tradition se perpétue.

L'eau est captée de plusieurs sources, situées à 9km, sur la route de Gonfaron.  

Dans un court diaporama ci-contre, j'ajoute quelques illustrations du village.

P. S. : le Rosé était bon, plutôt doux et légèrement sucré. Vous pouvez aussi déguster une glace à la châtaigne absolument délicieuse et emporter quelques "marrons glacés". 

Mardi 27 février après-midi, des bénévoles qui avaient participé au nettoyage du cap en août, de même que des mécènes ayant contribué au financement de sa restauration et des élus de la communes se sont retrouvés, à l'invitation du CEN-PACA pour une balade destinée à faire le point sur les réalisations déjà entreprises.

Bien couvert et prêt à affronter le vent, le froid, voire la neige, un petit nombre se prépare pour une  randonnée du parking de l'Escalet jusqu'à la Maison de la douane, maintenant propriété du conservatoire. En fait, guidés par Raymond Viala, dynamique responsable de l'entretien du lieu et bon connaisseur de son histoire, nous irons jusqu'au sommet de la presqu'île, en empruntant le tout nouveau re-tracé du sentier des canonniers napoléoniens.

 Au sommet, la vue est toujours aussi preignante. L'incendie aura eu l'avantage de pouvoir permettre un accès beaucoup plus facile et moins dangereux que ceux qui étaient empruntés auparavant.

Sur la presqu'île comme sur les flancs du cap, des andains ont été installés afin de stabiliser les sols et limiter l'érosion. Les branchages des arbres abattus ont servi de matériau.

Sur le chemin du retour, des boissons et macarons nous attendent à l'intérieur de la Maison de la Douane où des élus de Ramatuelle et des représentants du CEN font part de la satisfaction qu'ils ont au vu de ce qui est déjà réalisé pour aider la nature à recoloniser le cap si prisé.

 Un des palmiers endémiques des Maures qui a déjà repris belle allure.

Et les euphorbes ne tarderont pas à fleurir.

Belles et bonnes futures balades dans ces lieux agréables.

En 2016, la Seine avait atteint 6,10m ; ce soir, dimanche 28 janvier 2018, nous en sommes à 5,85m. Le pic est pour cette nuit.

La toise, le zouave du Pont de l'Alma est la vedette ce soir. Gageons que demain ses hanches commenceront à se dégager. Cet après midi, les photographes s'étaient donné rendez-vous sur les trottoirs longeant la Seine. 

Rien ne navigue, excepté un canot pneumatique qui a fait le taxi pour l'habitant d'une péniche bien en peine pour retrouver ses pénates.

Dans la colonne de droite, réservée aux diaporama, quelques souvenirs d'une petite promenade du dimanche inhabituelle.

J'ai découvert ce pays en octobre, fin octobre exactement. D'où fraîcheur à Téhéran, où il a neigé la veille de notre retour en France, et chaleur presqu'accablante à Persépolis.

De multiples merveilles pour les yeux, une histoire très riche, des Iraniens souriants, un pays valorisant son passé,... 

J'y retournerais avec plaisir, consciente de ne pas avoir tout découvert.

J'ai gardé de ce voyage 500 photos environs. Je ne vais pas ouvrir de nouveau blog pour le relater mais vais plutôt constituer une série de diaporamas à thème, légendés à minima en commençant par quelques aspects pris sur le vif, de Téhéran.

Et pour commencer, vous voyez plus haut, une photo prise du pont piéton Tabiaat qui relie deux parcs en enjambant l'autoroute et la voie express. Vous pouvez constater que les automobilistes n'ignorent pas les embouteillages.

Liste d'albums - colonne de droite

- Téhéran 

- Le Grand Bazar de Téhéran

- le Zurkhaneh (Saheb A Zaman club)

- la maison Narendjestan à Shiraz

- le palais de Tchehel Sotun à Ispahan

 Et si vous voulez voir l'Iran avec l'oeil d'un photographe qui sait mêler le réel et l'imaginaire, rendez-vous sur :

https://arthurthevenart.com/